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                  Réfléchir à partir d'un livre

Sur le Bonheur

P. Pierre Teilhard de Chardin
Editions Franciscaines

 

 

Pierre Teilhard de Chardin (1er mai 1881-10 avril 1955), jésuite, chercheur, théologien, paléontologue et philosophe français.

Scientifique de renommée internationale, Pierre Teilhard de Chardin fut à la fois un géologue spécialiste du Pléistocène et un paléontologiste spécialiste des vertébrés du Cénozoïque. Il est considéré comme l'un des théoriciens de l'évolution les plus remarquables de son époque, l'étendue de ses connaissances lui permet de comparer les premiers hominidés, juste découverts, aux autres mammifères en constatant l'encéphalisation propre à la lignée des primates paléoanthropologues.

Avec Teilhard, matière et esprit ne sont plus que deux facettes d'une même réalité, ce qui lui permet, en tant que prêtre de la Compagnie de Jésus, de donner un sens à sa foi en l'incarnation du Christ, à la dimension de la cosmogenèse et non plus à l'échelle obsolète d'un cosmos statique comme l'entendait la tradition chrétienne biblique, et comme veulent encore l'imposer les courants créationnistes à l'encontre des millions de données paléontologiques conservées dans de nombreux musées dans le monde.

(Wikipédia)

Ce livre a attiré mon attention
et me donne un éclairage sur la vie.

 

Deux extraits

« L’homme heureux est celui qui, sans chercher directement le bonheur, trouve inévitablement la joie, par surcroît, dans l’acte de parvenir à la plénitude et au bout de lui-même, en avant. »

 

« Le bonheur est un effet de croissance pour être pleinement soi et vivant, l’homme doit : 1) se centrer sur soi ; 2) se décentrer sur ‘l’autre’ ; 3) se sur-centrer sur un plus grand que soi.

1) Se centrer. Pour être pleinement nous-mêmes, nous devons travailler toute notre vie à nous organiser, à porter toujours plus d’ordre, plus d’unité dans nos idées, nos sentiments, notre conduite (intérêt de la vie intérieure). Bonheur de grandir.

2) Se décentrer. Nous ne pouvons progresser jusqu’au bout de nous-mêmes sans sortir de nous-mêmes en nous unissant aux autres. D’où le sens de l’amour qui nous pousse à associer notre centre individuel avec d’autres centres choisis - l’amour pour nous compléter. Se donner dans un progrès spirituel réalisé en commun.

3) Se sur-centrer. Soumettre et ramener sa vie à un plus grand que soi. Bonheur d’adorer. La mystique chrétienne nous présente un Dieu personnel, non seulement créateur mais animateur d’un Univers qu’il ramène à Soi par le jeu de toutes les forces de l’Evolution.


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